26 Kasım 2016 Cumartesi
The Fall (2016) - Paul Peter Spector
There was a man of double deed,
Who sowed his garden full of seed;
When the seed began to grow,
‘Twas like a garden full of snow;
When the snow began to melt,
'Twas like a ship without a belt;
When the ship began to sail,
'Twas like a bird without a tail;
When the bird began to fly,
'Twas like an eagle in the sky;
When the sky began to roar,
'Twas like a lion at my door;
When my door began to crack,
'Twas like a stick across my back;
When my back began to smart,
'Twas like a penknife in my heart;
And when my heart began to bleed,
'Twas death, and death, and death indeed. /
Çok çalışkan bir adam vardı,
Bahçeye bir sürü tohum ekti;
Tohumlar büyümeye başladığında,
Bahçe karlarla kaplandı sanki;
Kar erimeye başladığında,
Dümensiz gemi gibiydi sanki;
Gemi yelken açınca,
Kuyruksuz kuş gibiydi sanki;
Kuş uçmaya başladığında,
Gökteki kartal gibiydi sanki;
Gök kükremeye başladığında,
Kapımda bir aslan vardı sanki;
Kapım çatırdamaya başladığında,
Sırtıma bir sopa indi sanki;
Sırtım ağrımaya başladığında,
Kalbime bir çakı saplandı sanki;
Kalbim kanamaya başlayınca,
Ölüm, ölüm ve ölümdü sahi.
Şiir: Anonim
25 Kasım 2016 Cuma
Patrick Modiano
À mesure que les années, passent, chaque quartier, chaque rue d'une ville, évoque un souvenir, une rencontre, un chagrin, un moment de bonheur. /
Yıllar geçtikçe her semt, bir şehrin her sokağı; bir anıyı, bir karşılaşmayı, bir kederi ve bir sevinç anını hatırlatır. (Çev: MERVE BAKIR)
17 Kasım 2016 Perşembe
Stendhal
Je ne puis pas donner la réalité des faits, je n'en puis présenter que l'ombre. / Ben olayların özündeki gerçekliği sunamam, gölgesini yansıtabilirim ancak. (Çev: MERVE BAKIR)
28 Ekim 2016 Cuma
L'étoile - Avril 2013
L'exode rural
Tout au long de l’histoire, les villes ont offert de l’espoir et des possibilités aux gens. Aujourd’hui, 70 millions de personnes migrent par an vers des zones rurales. La plupart de ces gens émigrent pour trouver un emploi et une vie meilleure. Cet exode rural a abouti à l'élaboration des mégalopoles, c'est-à-dire vers des villes avec une population de plus de 10 millions de personnes. En 2020, il y aura environ 35 mégapoles, et la plupart sera dans les pays en voix de développement. Cette urbanisation apporte de nombreux avantages économiques. Cependant, ces villes énormes ont aussi de graves difficultés sociales et environnementales. Quels sont les causes et les conséquences de l'exode rural dans les métropoles? Les personnes migrant vers les zones rurales n'auront pas tous un bon emploi. Beaucoup de personnes restent au chômage. En conséquence, la pauvreté est un problème majeur dans les mégalopoles, en particulier dans les pays en voix de développement. Dans ces villes, la différence entre les riches et les pauvres est très visible. Dans certains quartiers, les gens habillés magnifiquement roulent dans des voitures de luxes et habitent dans des maisons chères. En revanche, dans d’autres quartiers, il y a des familles sans-abri qui doivent mendier de la nourriture et du travail. Les Nations Unies estiment qu'il y a 1 milliard de personnes vivant dans des bidonvilles et qui sont sans-abri. Les gens peuvent être sans-abri pour de nombreuses raisons. Certains sont des malades mentaux, d'autres sont des toxicomanes ou alcooliques. Le plus souvent, cependant, les sans-abri sont très pauvres. Ils ne peuvent pas se permettre d'acheter ou de louer un endroit pour vivre, en particulier dans les villes les plus prospères du monde entier. Pour réduire le taux de chômage en métropoles, le pays en question doit se lancer dans des projets d'investissement innovants afin de pouvoir créer de nouveaux postes d'emploi. Le fait de maîtriser le taux d'inflation peut contribuer aussi à la diminution du taux de chômage et s’en soutenant le pouvoir d'achat des ménages. Le crime est un autre problème majeur des zones urbaines. Une étude des Nations Unies de 1988 à 1995 a révélé que la moitié des résidents des zones urbaines étaient victimes d'actes criminels. D'autres études ont également constaté que les taux de criminalité les plus élevés se trouvent dans les grandes villes. Par exemple, au Brésil, au Mexique et au Pérou, les grandes villes ont beaucoup de criminalité. Tokyo, l'une des plus grandes villes du monde, n'a pas de taux de criminalité élevé. La pauvreté est juste un facteur dans la hausse des taux de criminalité urbaine. Certains experts estiment que la situation est plus compliquée. Ils soutiennent que le facteur crucial n'est pas la pauvreté, c'est l'inégalité économique. Pendant les périodes de l'urbanisation rapide, les riches et les pauvres vivent souvent dans la même ville. Cela peut conduire à une augmentation du crime. On peut réduire la délinquance dans les lieux publics en ayant recours à des gardes civils qui seront recrutés parmi les chômeurs. On peut aussi installer des circuits de vidéosurveillance. En outre, les jeunes des milieux défavorisés doivent recevoir une formation professionnelle et doivent être encouragés à terminer leurs études. Avec la bonne décision et les tâches correctement prise par le gouvernement, nous pouvons obtenir une meilleure économie. Sans doute que l'augmentation des crimes dans toutes les villes vont peut être s'arrêter et la vie quotidienne sera mieux pour tout le monde. Un autre problème dans les villes en voix de développement est la pollution. Les émissions provenant de toutes les voitures et des motos sont une cause majeure de pollution de l'air dans les villes. Il n'est pas rare pour les gens qui respirent cet air, d’avoir des problèmes de santé, notamment les maladies respiratoires. En raison de la relation entre la pollution et la maladie, de nombreuses villes sont en train de nettoyer leur air et l'eau. Une ville au Brésil a montré qu'il est possible de réduire la pollution de façon spectaculaire. En 1190 dans le Cubatao a été connu comme la Vallée de la Mort. Les huileries, les usines sidérurgiques et chimiques polluaient l'air de la ville et empoisonnaient l'eau. Les poissons sont morts dans les rivières, les arbres sont morts dans les forêts et les gens sont morts de maladies respiratoires et du cancer. Le problème était si grave que le gouvernement et l'industrie ont décidé de faire quelque chose pour résoudre ce problème. Ils ont investi des millions de dollars pour réduire la pollution de l'air et nettoyer l'eau. Aujourd'hui, les poissons reviennent dans les rivières, les arbres repoussent dans les forêts, et les habitants de Cubatao sont en bonne santé à nouveau. Les méthodes de prévention prise par l’Etat (lois) et les actions individuelles peuvent lutter contre la pollution de l’air. Les gouvernements obligent les entreprises à être plus responsables de leurs activités de fabrication, de sorte que même si celle ci provoquent encore la pollution, elles doivent être beaucoup plus contrôlés. Les entreprises sont également en train de construire des voitures plus économes en énergie, qui polluent moins. Et comme l’exemple de la ville de Cubatao au Brésil, le gouvernement peut investir dans l'énergie éolienne et l'énergie solaire, ainsi que d'autres énergies renouvelables, afin de minimiser la combustion fossile qui provoquent une forte pollution atmosphérique. A chaque minute, 130 personnes quittent leur village et déménagent dans d'autres villes, où ils sont souvent confrontés à des conditions de vie difficiles. Toutefois, cet exode rural est susceptible de continuer parce que les villes offrent de meilleures opportunités économiques. Pour les mégapoles, c'est une difficulté de taille pour répondre aux besoins de ces nouveaux résidents. La pauvreté, le sans abri, la criminalité et la pollution sont des problèmes réels. Les gens partout dans le monde font des changements dans leur ville. Tout le monde veut être sûr que, dans ce siècle, ces villes continueront à être des lieux où les gens veulent vivre.
Merve BAKIR
Tout au long de l’histoire, les villes ont offert de l’espoir et des possibilités aux gens. Aujourd’hui, 70 millions de personnes migrent par an vers des zones rurales. La plupart de ces gens émigrent pour trouver un emploi et une vie meilleure. Cet exode rural a abouti à l'élaboration des mégalopoles, c'est-à-dire vers des villes avec une population de plus de 10 millions de personnes. En 2020, il y aura environ 35 mégapoles, et la plupart sera dans les pays en voix de développement. Cette urbanisation apporte de nombreux avantages économiques. Cependant, ces villes énormes ont aussi de graves difficultés sociales et environnementales. Quels sont les causes et les conséquences de l'exode rural dans les métropoles? Les personnes migrant vers les zones rurales n'auront pas tous un bon emploi. Beaucoup de personnes restent au chômage. En conséquence, la pauvreté est un problème majeur dans les mégalopoles, en particulier dans les pays en voix de développement. Dans ces villes, la différence entre les riches et les pauvres est très visible. Dans certains quartiers, les gens habillés magnifiquement roulent dans des voitures de luxes et habitent dans des maisons chères. En revanche, dans d’autres quartiers, il y a des familles sans-abri qui doivent mendier de la nourriture et du travail. Les Nations Unies estiment qu'il y a 1 milliard de personnes vivant dans des bidonvilles et qui sont sans-abri. Les gens peuvent être sans-abri pour de nombreuses raisons. Certains sont des malades mentaux, d'autres sont des toxicomanes ou alcooliques. Le plus souvent, cependant, les sans-abri sont très pauvres. Ils ne peuvent pas se permettre d'acheter ou de louer un endroit pour vivre, en particulier dans les villes les plus prospères du monde entier. Pour réduire le taux de chômage en métropoles, le pays en question doit se lancer dans des projets d'investissement innovants afin de pouvoir créer de nouveaux postes d'emploi. Le fait de maîtriser le taux d'inflation peut contribuer aussi à la diminution du taux de chômage et s’en soutenant le pouvoir d'achat des ménages. Le crime est un autre problème majeur des zones urbaines. Une étude des Nations Unies de 1988 à 1995 a révélé que la moitié des résidents des zones urbaines étaient victimes d'actes criminels. D'autres études ont également constaté que les taux de criminalité les plus élevés se trouvent dans les grandes villes. Par exemple, au Brésil, au Mexique et au Pérou, les grandes villes ont beaucoup de criminalité. Tokyo, l'une des plus grandes villes du monde, n'a pas de taux de criminalité élevé. La pauvreté est juste un facteur dans la hausse des taux de criminalité urbaine. Certains experts estiment que la situation est plus compliquée. Ils soutiennent que le facteur crucial n'est pas la pauvreté, c'est l'inégalité économique. Pendant les périodes de l'urbanisation rapide, les riches et les pauvres vivent souvent dans la même ville. Cela peut conduire à une augmentation du crime. On peut réduire la délinquance dans les lieux publics en ayant recours à des gardes civils qui seront recrutés parmi les chômeurs. On peut aussi installer des circuits de vidéosurveillance. En outre, les jeunes des milieux défavorisés doivent recevoir une formation professionnelle et doivent être encouragés à terminer leurs études. Avec la bonne décision et les tâches correctement prise par le gouvernement, nous pouvons obtenir une meilleure économie. Sans doute que l'augmentation des crimes dans toutes les villes vont peut être s'arrêter et la vie quotidienne sera mieux pour tout le monde. Un autre problème dans les villes en voix de développement est la pollution. Les émissions provenant de toutes les voitures et des motos sont une cause majeure de pollution de l'air dans les villes. Il n'est pas rare pour les gens qui respirent cet air, d’avoir des problèmes de santé, notamment les maladies respiratoires. En raison de la relation entre la pollution et la maladie, de nombreuses villes sont en train de nettoyer leur air et l'eau. Une ville au Brésil a montré qu'il est possible de réduire la pollution de façon spectaculaire. En 1190 dans le Cubatao a été connu comme la Vallée de la Mort. Les huileries, les usines sidérurgiques et chimiques polluaient l'air de la ville et empoisonnaient l'eau. Les poissons sont morts dans les rivières, les arbres sont morts dans les forêts et les gens sont morts de maladies respiratoires et du cancer. Le problème était si grave que le gouvernement et l'industrie ont décidé de faire quelque chose pour résoudre ce problème. Ils ont investi des millions de dollars pour réduire la pollution de l'air et nettoyer l'eau. Aujourd'hui, les poissons reviennent dans les rivières, les arbres repoussent dans les forêts, et les habitants de Cubatao sont en bonne santé à nouveau. Les méthodes de prévention prise par l’Etat (lois) et les actions individuelles peuvent lutter contre la pollution de l’air. Les gouvernements obligent les entreprises à être plus responsables de leurs activités de fabrication, de sorte que même si celle ci provoquent encore la pollution, elles doivent être beaucoup plus contrôlés. Les entreprises sont également en train de construire des voitures plus économes en énergie, qui polluent moins. Et comme l’exemple de la ville de Cubatao au Brésil, le gouvernement peut investir dans l'énergie éolienne et l'énergie solaire, ainsi que d'autres énergies renouvelables, afin de minimiser la combustion fossile qui provoquent une forte pollution atmosphérique. A chaque minute, 130 personnes quittent leur village et déménagent dans d'autres villes, où ils sont souvent confrontés à des conditions de vie difficiles. Toutefois, cet exode rural est susceptible de continuer parce que les villes offrent de meilleures opportunités économiques. Pour les mégapoles, c'est une difficulté de taille pour répondre aux besoins de ces nouveaux résidents. La pauvreté, le sans abri, la criminalité et la pollution sont des problèmes réels. Les gens partout dans le monde font des changements dans leur ville. Tout le monde veut être sûr que, dans ce siècle, ces villes continueront à être des lieux où les gens veulent vivre.
Merve BAKIR
20 Ağustos 2016 Cumartesi
"Diğer İnsanlar" by Neil Gaiman
“Zaman değişkendir burada.” dedi şeytan.
Adam ilk bakışta onun şeytan olduğunu anlamıştı.
Bulunduğu yerin Cehennem olduğunu anladığı gibi şeytanı da anlamıştı. Bunlardan
başka bir şey olacak değildi ya.
Oda uzundu ve şeytan en uçta alevli maltızla
duruyordu. Duvarda çok sayıda alet-edevat asılıydı, öyle ki bunları çok fazla
incelemek akıllıca olmadığı gibi uzak durmak gerekiyordu. Tavan alçaktı,
zeminse tuhaf bir şekilde muhayyeldi.
“Yaklaş biraz” dedi şeytan, adam da yaklaştı.
Şeytan oldukça çelimsiz ve çıplaktı. Çok derin
yaralarının yanı sıra yıllar yıllar boyunca uzak geçmişte sanki derisi yüzülmüş
gibiydi. Ne kulakları ne de cinsiyeti vardı. İnce ve çile çekmiş gibi dudakları
ve şeytan gözleri vardı; çok fazla şey görmüş, çok
ileri gitmişlerdi ve o dik bakışlar altında kendini bir sinekten daha az
önemli olduğunu hissetti.
“Şimdi ne olacak?” diye sordu adam.
Şeytan neşesiz, kedersiz bir sesle “şimdi” dedi
sonra da sadece bir tevekkülle “işkence edileceksin” dedi.
“Ne kadar sürecek?”
Şeytan sadece kafasını salladı, cevap vermedi.
Yavaşça duvar boyu yürüdü, asılı olan aletlerden birine sonra ötekine baktı.
Kapalı kapının hemen yanında, duvar bitiminde dokuz başlı ve her biri saçaklı
tellerle örülü bir kırbaç vardı. Şeytan kırbacı üç parmaklı eliyle aldı,
saygıyla taşıyarak geri geldi. Bununla da kalmadı maltızın üstüne koydu ve
ısıtmaya başladı.
“Bu çok acımasızca.”
“Evet.”
Kırbaç, koyu kahverengi bir hal almıştı.
Şeytan ilk vuruş için kolunu kaldırdığında şöyle
dedi “Öyle bir zaman gelecek ki bu anları şefkatle anacaksın.”
“Yalancısın sen.”
“Hayır” dedi şeytan.
Kırbacı vurmadan önce “Bir sonraki kısmın daha kötü” olduğunu ona izah
etti.
Sonra kırbacın telleri adamın sırtına bir çatırtı ve
tısla iniyordu, pahalı kıyafetlerini yırtarak, yakarak, paralayarak ve
parçalayarak kırbacı vuruyordu, hem de aynı yerde defalarca. Adam çığlıklar
atıyordu.
Bu odanın duvarında iki yüz on bir çeşit alet vardı
ve zamanı gelince her birine tek tek maruz kalmıştı.
Şeytan son olarak, mahrem bir yakınlık bulunmasından dolayı
kullandığı Lazarene Kızı aletini temizleyip duvardaki iki yüz on birinci yerine
koyarken adam da paramparça dudaklarıyla soluk soluğaydı.
“Şimdi ne olacak?”
“Şimdi” dedi şeytan, “asıl acı başlıyor.”
Ve başladı.
Yapmasa daha iyi olacak olan ama yaptığı her şey.
Kendine ya da başkalarına söylediği her yalan. Verdiği en küçük ve en büyük
zararlar. Kendisinden ince ince ve yavaş yavaş kaçan herkes. Şeytan, unutkanlık
perdesini daha da önemlisi gerçeklik perdesini açtı ve artık bu ona diğer her
şeyden daha çok acı veriyordu.
“Söyle bakalım eşin öylece çekip gittiğinde ne
düşündün?” dedi şeytan.
“Kalbimin kırıldığını düşünmüştüm.”
“Hayır” dedi şeytan nefretsiz bir şekilde,
“düşünmedin”. Şeytan boş boş ona baktı o
da uzağa bakmak zorunda kaldı.
“Onun kız kardeşiyle birlikte olduğumu asla öğrenemeyecekti
diye düşünmüştüm.”
Şeytan onun hayatını anbean, iyi andan en kötü ana
kadar parçalara ayırmıştı. Bu bir yüz yıl sürdü belki de bin yıl hem de bu gri
odada. Sona geldiklerinde adam, şeytanın haklı olduğunu anlamıştı. Fiziksel
işkence daha iyiydi.
Ve bitti.
Bir kez daha bitiyor, sonra tekrar başlıyor. Adam
vicdan muhasebesinden sonra yaptığı tüm kötü şeyleri kabul etmişti.
Şimdi konuşurken, kendisinden nefret ediyordu.
Yalan yoktu, firar yoktu, acı ve öfke dışında hiçbir şey yoktu.Konuştu. Artık iç çekerek ağlamıyordu. Ve bittiğinde, bin yıl sonra, şeytanın duvara gidip deri yüzme bıçağını, Tıkama Armudunu ya da sıkıştırma aletlerini alması için dua etmişti.
"Tekrar." dedi şeytan.
Adam da çığlık atmaya başladı. Uzunca bir süre çığlık attı.
Bittiğinde, “Tekrar.” dedi şeytan, sanki hiçbir şey söylenmemiş gibi.
Soğan soymak gibiydi. Bu kez, hayatındaki olayların sonuçlarını öğrenmişti. Yaptıklarının sonucunu, onları yaparken farkında olmadığı şeyler, dünyaya verdiği zararları, hiç görmediği, tanışmadığı, karşılaşmadığı insanlara verdiği zararları öğrenmişti.
Bu, şimdiye kadarki en vahim dersiydi.
"Tekrar." dedi şeytan, bin yıl sonra.
Adam hafif sarsılarak maltızın yanına diz çöktü, gözlerini kapattı ve hayat hikâyesini anlattı, anlatırken de doğumundan ölümüne her anını tekrar yaşadı, hiçbir şeyi değiştirmeden, hiçbir şeyi atlamadan, her şeyle yüzleşerek. Kalbini açtı.
O da bittiğinde olduğu yere oturdu, gözlerini kapattı, sesin “Tekrar” demesini bekledi ama hiç ses gelmedi. Adam gözlerini açtı.
Yavaşça ayağa kalktı. Kimse yoktu.
Odanın ucunda bir kapı vardı, izlerken kapı açıldı.
Bir adam kapıdan içeri girdi. Bu adamın yüzünde korku, kibir ve gurur vardı. Pahalı kıyafetler giyen bu adam çekinerek odanın etrafında birkaç adım attı ve sonra da durdu.
Bu adamı görünce anlamıştı artık.
“Zaman değişkendir burada.” dedi yeni gelene.
“Other People” by Neil Gaiman
“Time is fluid here,” said the demon. He
knew it was a demon the moment he saw it. He knew it, just as he knew the place
was Hell. There was nothing else that either of them could have been.
The room was long, and the demon waited
by a smoking brazier at the far end. A multitude of objects hung on the
rock-gray walls, of the kind that it would not have been wise or reassuring to
inspect too closely. The ceiling was low, the floor oddly insubstantial.
“Come close,” said the demon, and he
did. The demon was rake-thin, and naked. It was deeply scarred, and it appeared
to have been flayed at some time in the distant past. It had no ears, no sex.
Its lips were thin and ascetic, and its eyes were a demon’s eyes: they had seen
too much and gone too far, and under their gaze he felt less important than a
fly.
“What happens now?” he asked.
“Now,” said the demon, in a voice that
carried with it no sorrow, no relish, only a dreadful flat resignation, “you will
be tortured.”
“For how long?”
But the demon shook its head and made no
reply. It walked slowly along the wall, eyeing first one of the devices that
hung there, then another. At the far end of the wall, by the closed door, was a
cat o’ nine tails made of frayed wire. The demon took it down with one
three-fingered hand and walked back, carrying it reverently. It placed the wire
tines onto the brazier, and stared at them as they began to heat up.
“That’s inhuman.”
“Yes.”
The tips of the cat’s tails were glowing
a dead orange.
As the demon raised his arm to deliver
the first blow, it said, “In time you will remember even this moment with
fondness.”
“You are a liar.”
“No,” said the demon. “The next part,”
it explained, in the moment before it brought down the cat, “is worse.” Then
the tines of the cat landed on the man’s back with a crack and a hiss, tearing
through the expensive clothes, burning and rending and shredding as they struck
and, not for the last time in the place, he screamed.
There were 211 implements on the walls
of that room, and in time he was to experience each of them. When, finally, the
Lazarene’s Daughter, which he had grown to know intimately, had been cleaned
and replaced on the wall in the 211th position, then, through wrecked lips, he gasped,
“Now what?”
“Now,” said the demon, “the true pain
begins.”
It did.
Everything he had ever done that had
been better left undone. Every lie had told – told to himself, or told to
others. Every little hurt, and all the great hurts. Each one was pulled out of
him, detail by detail, inch by inch. The demon stripped away the cover of
forgetfulness, stripped everything down to truth, and it hurt more than
anything.
“Tell me what you thought as she walked
out of the door,” said the demon.
“I thought my heart was broken.”
“No,” said the demon, without hate, “you
didn’t.” It stared at him with expressionless eyes, and he was forced to look
away.
“I thought, now she’ll never know I’ve
been sleeping with her sister.”
The demon took apart his life, moment by
moment, instant to awful instant. It lasted a hundred years, perhaps, or a
thousand – they had all the time there ever was, in that grey room – and toward
the end he realised that the demon had been right. The physical torture had
been kinder.
And it ended.
And once it had ended, it began again.
There was a self-knowledge there he had not had the first time, which somehow
made everything worse.
Now, as he spoke, he hated himself.
There were no lies, no evasions, no room for anything except the pain and the
anger.
He spoke. He no longer wept. And when he
finished, a thousand years later, he prayed that now the demon would go to the
wall, and bring down the skinning knife, or the choke-pear, or the screws.
“Again,” said the demon.
He began to scream. He screamed for a
long time.
“Again,” said the demon, when he was
done, as if nothing had been said.
It was like peeling an onion. This time
through his life he learned about consequences. He learnt the results of things
he had done; things he had been blind to as he did them; the ways he had hurt
the world; the damage he had done to people he had never known, or met, or
encountered. It was the hardest lesson yet.
“Again,” said the demon, a thousand
years later.
He crouched on the floor, beside the
brazier, rocking gently, his eyes closed, and he told the story of his life,
re-experiencing it as he told it, from birth to death, changing nothing,
leaving nothing out, facing everything. He opened his heart.
When he was done, he sat there, eyes
closed, waiting for the voice to say, “Again.”, but nothing was said. He opened
his eyes.
Slowly he stood up. He was alone.
At the far end of the room, there was a
door, and as he watched, it opened.
A man stepped through the door. There
was terror in the man’s face, and arrogance, and pride. The man, who wore
expensive clothes, took several hesitant steps into the room, and then stopped.
When he saw the man, he understood.
“Time is fluid here,” he told the new
arrival.
Şafaksız Bir Deryaya by Neil Gaiman
Thames pis
bir yaratıktır: Londra’nın göbeğinden bir yılan gibi kıvrılarak geçer.
Tüm
nehirler ona akar. Neckinger da, Fleet de, Tyburn de Thames’e akar.
Akarken, her
türlü pisliği ve atığı, kedilerle köpeklerin cesetleriyle koyunlar ve
domuzların kemiklerini, daha sonra onlarla birlikte doğudaki nehir ağzından
Kuzey Denizine ve ötesindeki hiçliğe dökülecek olan Thames’in kahverengi
sularının derinliklerine taşır.
Londra’da
yağmur var.
Yağmur,
pislikleri oluklara akıtıyor.
Dereleri
kabartıyor, nehir yapıyor; nehirleri ise çok daha kuvvetli şeyler.
Gürültüyle
yağıyor; su sıçrıyor, çatılara çarpıyor, ses çıkarıyor. Gökten yağarken temiz
bile olsa, kirlenmesi için tek gereken Londra’ya değmesi, toprağa değip çamur
olması.
Suyu kimse
içmiyor.
Ne yağmur
suyunu, ne de nehir suyunu.
Thames’e
giren kişinin anında ölmesi hakkında şakalar yapılır, ama bu doğru değil.
Suya atılan
paralar için nehrin derinliklerine dalan, sonra da, nehir suyunu püskürterek,
ellerinde bozukluklarıyla yukarı çıkan çamur sıçanları hariç.
Ölürler
tabii, orası öyle, ama bundan dolayı değil.
Her ne
kadar on beş yaşından büyük çamur sıçanı olmasa da.
Kadın,
yağmuru umursuyora benzemiyor.
Yıllardır,
on yıllardır yaptığı gibi Rotherhithe rıhtımlarında dolaşıyor. Kaç yıldır
dolaştığını kimse bilmiyor, çünkü kimse umursamıyor.
Rıhtımlarda
dolaşıyor ya da denize bakıyor.
Onlar demir
attıkları yerlerde alçalıp yükselirken gemileri inceliyor.
Bedenin ve
ruhun birlikteliğinin devamını sağlamak için bir şey yapıyor olmalı, fakat
rıhtımdaki kimsenin bunun ne olduğu hakkında hiçbir fikri yok.
Sağanaktan
korunmak için yelkencinin tekinin kurduğu bir gölgeliğin altına sığınıyorsun.
İlk başta,
kadın heykel gibi hareketsiz durduğu ve yağmurun çektiği perdenin ötesinde bir
şey görünmediği halde denize baktığı için orada yalnız olduğunu sanıyorsun.
Thames’in öteki kısmı ortadan kaybolmuştu.
Sonra, seni
görüyor.
Seni görüp
konuşmaya başlıyor. Sana değil, yok, hayır, ama kurşuni semadan kurşuni nehre
akan kurşuni suya konuşuyor.
“Oğlum
denizci olmak istiyordu.” diyor; sen de ne diyeceğini, nasıl diyeceğini
şaşırıyorsun.
Yağmurun
çıkardığı gürlemelerin arasında sesini ona duyurmak için bağırman gerekirdi,
ama o konuşuyor ve sen dinliyorsun.
Dediklerini
anlamak için uzanıp kendini zorladığını fark ediyorsun.
“Oğlum
denizci olmak istiyordu.
Ona deryaya
gitmemesini söyledim.
Senin
annen benim, dedim. Derya seni benim sevdiğim gibi sevmez, kalpsizdir o.
Ama o
bana, ama anne, dünyayı görmem gerek, dedi.
Ekvatorda
güneşin doğuşunu görmem, Buzul semasında Kuzey Işıklarının dansını izlemem
gerek ve her şeyden öte, zengin olmam gerek ve zengin olduğum zaman sana
döneceğim ve sana bir ev inşa edeceğim ve uşakların olacak ve dans edeceğiz
anne, nasıl da dans edeceğiz…”
"’Ne
yapayım ben güzel evleri?’ dedim ona. Hayal dolu sözler eden bir aptalsın sen.
Ona
babasından bahsettim. Babası deryadan eve dönmemişti.
Bazıları
öldüğünü ve denize düştüğünü söylemişti. Başkaları ise Amsterdam’da bir genelev
işlettiğini gördüklerine yemin etmişti.
Her şekilde,
durum değişmiyor.
Derya aldı
onu benden.”
“On iki
yaşına bastığında, evladım evden kaçtı, rıhtıma indi ve bulduğu ilk gemiyle
denize açıldı.
Gemi Azorlar’daki
Flores’e gidiyormuş. Öyle dediler bana.
Bazı gemiler
uğursuzdur. Kötü gemilerdir bunlar. Her felaketten sonra, bu gemileri yeniden
boyayıp yeni bir isim verirler, tedbirsizleri kandırmak için.”
“Denizciler
batıl inançlara sahiptirler. Bir şeyin dedikodusu çıktı mı duyulur.
Bu gemi,
sahipleri öyle emretti diye, sigortacıları kandırmak için kaptanı tarafından
batırılmış; sonra da yepizyeni duracak şekilde tamir edildikten sonra korsanlar
gemiyi ele geçirmiş. Sonrasındaysa, bir batteniye kargosu alınca tayfası ölüler
olan bir veba gemisi olmuş ve gemiyi Harwich’te limana sadece üç adam
yaklaştırmış.”
“Oğlum
denize açılmak için felaketleri üstüne çeken bir gemi seçmişti.
Parayı,
babasının yaptığı gibi, kadınlara ve içkilere harcamayacak kadar genç olduğu için
bana yevmiyesini getirdiği eve dönüş yolculuğunda çarptı onlara fırtına.”
“Filikadaki
en küçük kişi oydu.
Bana adil
bir şekilde kura çektiklerini söylediler, ama ben buna inanmıyorum.
Oğlum
onlardan küçüktü.
Teknede
sekiz gün geçirdikten sonra, hepsi de öylesine açtı ki.
Eğer kura
çekmişlerse bile, hile yapmışlardır.”
“Kemiklerine
kadar kemirdiler oğlumu, her kemiği tertemiz olana dek, sonra da onları yeni
anasına, deryaya verdiler. Tek bir damla gözyaşı dökmedi ve tek kelime etmeden
kemikleri aldı. Kalpsizdir o.”
“Bazı
geceler keşke bana gerçeği söylememiş olsaydı diyorum. Yalan söyleyebilirdi.”
“Oğlumun
kemiklerini deryaya verdiler, ama kocamı ve, gerçeği söylemek gerekirse,
kocamın sandığından çok daha iyi bir şekilde beni de tanıyan geminin ikinci kaptanı
yadigar olarak bir kemik saklamış.
Hepsi de
karaya çıkıp bana oğlumun gemiyi batıran fırtınada kaybolduğuna dair yeminler
ettiğinde, o geceleyin geldi ve bir zamanlar aramızda olan sevgi adına bana
gerçeği söyledi ve kemiği verdi.”
“Ben de ona,
‘Yaptığın şey çok kötü bir şeydi Jack.’ dedim. ‘O yediğin senin kendi oğlundu.’
O gece,
derya onu da aldı. Cepleri taşlarla dolu olarak deryaya yürüdü ve yürümeye
devam etti.
Yüzmeyi hiç
öğrenmemişti.”
“Ben de,
gecenin geç vakitlerinde, rüzgar okyanus dalgalarıyla çarpışır ve onları
kumlara savururken, rüzgar evlerin etrafında ağlayan bir bebek gibi inlerken
ikisini de hatırlamak için kemiği bir zincire yerleştirdim.”
Yağmur
azalmaya başlıyor ve sen kadının hikayesinin bittiğini düşünüyorsun, ama şimdi,
ilk kez, kadın sana bakıyor ve bir şey söyleyecek gibi duruyor.
Boynundan
bir şeyi çekmiş çıkarmış ve şimdi onu sana uzatıyor.
“Bak,” diyor
sana. Seninkilerle karşılaşan gözleri, Thames gibi kahverengi. “Dokunmak ister
misin?”
Boynundan
çekip çıkarmak, çamur sıçanları bulsun ya da kaybolsun diye nehre fırlatmak
istiyorsun.
Ama onun
yerine gölgeliğin altından çıkıyorsun ve yağmur suyu yüzünden başka birisinin
gözyaşları gibi akıp gidiyor.
Down to a Sunless Sea by Neil Gaiman
The Thames is a filthy beast: it winds through London like a snake, or a
sea serpent. All the rivers flow into it, the Fleet and the Tyburn and the
Neckinger, carrying all the filth and scum and waste, the bodies of cats and
dogs and the bones of sheep and pigs down into the brown water of the Thames,
which carries them east into the estuary and from there into the North Sea and
oblivion.
It is raining in London. The rain washes the dirt into the gutters, and it
swells streams into rivers, rivers into powerful things. The rain is a noisy
thing, splashing and pattering and rattling the rooftops. If it is clean water
as it falls from the skies it only needs to touch London to become dirt, to
stir dust and make it mud.
Nobody drinks it, neither the rain water nor the river water. They make
jokes about Thames water killing you instantly, and it is not true. There are
mudlarks who will dive deep for thrown pennies then come up again, spout the
river water, shiver and hold up their coins. They do not die, of course, or not
of that, although there are no mudlarks over fifteen years of age.
The woman does not appear to care about the rain.
She walks the Rotherhithe docks, as she has done for years, for decades:
nobody knows how many years, because nobody cares. She walks the docks, or she
stares out to sea. She examines the ships, as they bob at anchor. She must do
something, to keep body and soul from dissolving their partnership, but none of
the folk of the dock have the foggiest idea what this could be.
You take refuge from the deluge beneath a canvas awning put up by a
sailmaker. You believe yourself to be alone under there, at first, for she is
statue-still and staring out across the water, even though there is nothing to
be seen through the curtain of rain. The far side of the Thames has vanished.
And then she sees you. She sees you and she begins to talk, not to you, oh
no, but to the grey water that falls from the grey sky into the grey river. She
says, "My son wanted to be a sailor," and you do not know what to
reply, or how to reply. You would have to shout to make yourself heard over the
roar of the rain, but she talks, and you listen. You discover yourself craning
and straining to catch her words.
"My son wanted to be a sailor.
"I told him not to go to sea. I'm your mother, I said. The sea won't
love you like I love you, she's cruel. But he said, Oh Mother, I need to see
the world. I need to see the sun rise in the tropics, and watch the Northern
Lights dance in the Arctic sky, and most of all I need to make my fortune and
then, when it's made I will come back to you, and build you a house, and you
will have servants, and we will dance, mother, oh how we will dance...
"And what would I do in a fancy house? I told him. You're a fool with
your fine talk. I told him of his father, who never came back from the sea –
some said he was dead and lost overboard, while some swore blind they'd seen
him running a whore-house in Amsterdam.
"It's all the same. The sea took him.
"When he was twelve years old, my boy ran away, down to the docks, and
he shipped on the first ship he found, to Flores in the Azores, they told me.
"There's ships of ill-omen. Bad ships. They give them a lick of paint
after each disaster, and a new name, to fool the unwary.
"Sailors are superstitious. The word gets around. This ship was run
aground by its captain, on orders of the owners, to defraud the insurers; and
then, all mended and as good as new, it gets taken by pirates; and then it
takes shipment of blankets and becomes a plague ship crewed by the dead, and
only three men bring it into port in Harwich...
"My son had shipped on a stormcrow ship. It was on the homeward leg of
the journey, with him bringing me his wages – for he was too young to have
spent them on women and on grog, like his father – that the storm hit.
"He was the smallest one in the lifeboat.
"They said they drew lots fairly, but I do not believe it. He was
smaller than them. After eight days adrift in the boat, they were so hungry.
And if they did draw lots, they cheated.
"They gnawed his bones clean, one by one, and they gave them to his
new mother, the sea. She shed no tears and took them without a word. She's
cruel.
"Some nights I wish he had not told me the truth. He could have lied.
"They gave my boy's bones to the sea, but the ship's mate – who had
known my husband, and known me too, better than my husband thought he did, if
truth were told – he kept a bone, as a keepsake.
"When they got back to land, all of them swearing my boy was lost in
the storm that sank the ship, he came in the night, and he told me the truth of
it, and he gave me the bone, for the love there had once been between us.
"I said, you've done a bad thing, Jack. That was your son that you've
eaten.
"The sea took him too, that night. He walked into her, with his
pockets filled with stones, and he kept walking. He'd never learned to swim.
"And I put the bone on a chain to remember them both by, late at
night, when the wind crashes the ocean waves and tumbles them on to the sand,
when the wind howls around the houses like a baby crying."
The rain is easing, and you think she is done, but now, for the first time,
she looks at you, and appears to be about to say something. She has pulled
something from around her neck, and now she is reaching it out to you.
"Here," she says. Her eyes, when they meet yours, are as brown as
the Thames. "Would you like to touch it?"
You want to pull it from her neck, to toss it into the river for the
mudlarks to find or to lose. But instead you stumble out from under the canvas
awning, and the water of the rain runs down your face like someone else's
tears.
Kaydol:
Kayıtlar (Atom)
Öldükten Sonra
Diyecekler ki arkamdan Ben öldükten sonra O, yalnız şiir yazardı Ve yağmurlu gecelerde Elleri cebinde gezerdi Yazık diyecek Hatıra defterimi...
-
BİRLİKTE YÜRÜMEK… Daha önce söylemiştik: Dostluk, yürürken belirginleşen bir şeydir. Kaç zamandır, işte bu “yürümek” meselesini düşü...
-
Down to a Sunless Sea by Neil Gaiman The Thames is a filthy beast: it winds through London like a snake, or a sea serpent. All the river...